Grigori Petrovitch Grabovoï a écrit le texte de cette œuvre pour la première fois lors de son séminaire du 23 août 2003. Ce séminaire fut l’occasion de mettre en pratique le moyen d’accéder au développement éternel avec des prédictions précises sur les évènements futurs. La confirmation totale des prédictions de G.P. Grabovoï est prouvée par les protocoles et les témoignages publiés dans l’ouvrage en trois tomes « Pratique du contrôle. Voie du salut ». Lors de l’élaboration du texte du séminaire et avant la mise par écrit, G.P. Grabovoï recevait d’abord une prédiction précise sur les événements futurs traitant du développement éternel à la lumière de faits à venir concrets, et concernant chacun de nous et le monde entier.

«  D’un point de vue spirituel, l’âme est un macrosystème qui existe depuis le commencement, tandis que l’esprit est quand même un système dérivé de l’âme. L'esprit et l’âme constituent ce qui réunit sur un même plan, les corps physiques de l’homme et de Dieu, l’esprit de Dieu et l’esprit de l’homme, l’âme de Dieu et l’âme humaine. Plus précisément, cela ressemble à deux écrans lumineux rétroréfléchissants : la lumière qui se déploie entre eux va progressivement se refléter d’un niveau à l’autre puis finir par s’éteindre à un moment donné, selon les lois de la physique. Mais l’esprit, lui, ne s’éteint pas, c’est une lumière qui ne s’éteint jamais.    On peut considérer l’esprit comme un produit dérivé, Dieu l’a créé pour le contact avec l’homme. Toutefois, ce contact donne l’impression que Dieu aurait créé l’esprit comme une réalité extérieure. Le Saint Esprit et l’esprit de l’homme coexistent, et un objet extérieur à l’homme semble être en même temps strictement intérieur à lui et individuel. Nous croisons des caractéristiques très intéressantes de l’esprit, voire même de l’optique de l’esprit, lequel est souvent considéré comme un segment parfaitement indépendant de l’homme, une sorte de niveau extérieur. Si l’âme revêt l’aspect d’un niveau rigide solidement attaché au corps physique, l’esprit, dans les actions de l’homme envers Dieu, ressemble davantage à l’air par rapport au corps physique. »