Brevet

Méthode de prévention des catastrophes et dispositif pour sa mise en œuvre

Hongrie : EHL Development Kft., 2013. - – 9 p. ISBN 978-615-5317-79-8

Le 07 octobre 1999

Dans le cadre des activités conformes au contrat de licence, il est indiqué d’informer que la génération par l’homme d’un bio-signal normalisant, apparaissant avec la pensée et les concentrations lors de l’utilisation des œuvres de Grigori Grabovoï, est protégée en tant que méthode par le brevet d’invention de Grigori Grabovoï : « Méthode de Prévention des Catastrophes et Dispositif pour sa Réalisation ».
Le descriptif du brevet mentionne que la méthode de mise en application de l’action « générant des bio-signaux contribue en outre à la normalisation de la situation dans la zone de la catastrophe supposée ». Le cahier des charges du brevet comprend deux justifications de la méthode de normalisation des événements par l’utilisation d’un bio-signal normalisant : scientifique, instrumentale et exemples de résultats concrets. Le dépôt de brevet a été enregistré pour cette méthode prouvant ainsi que la lecture et l’étude des œuvres de Grigori Grabovoï contribuent à la normalisation des événements par l’homme dans le sens du développement éternel. Puisque la prévention des phénomènes catastrophiques dans un organisme et dans l’environnement par l’application de la conscience qui est génératrice par la pensée de bio-signaux, organise la vie éternelle. La spécification du brevet « Méthode de prévention des catastrophes et dispositif pour sa réalisation. » n° 2148845 du 10 mai 2000 est disponible sur internet sur le site officiel du Service Fédéral de la Russie chargé de la Propriété Intellectuelle, des Brevets et des Marques (www1.fips.ru). Adresse : Berezhkovskaya nab. 30, bâtiment 1, Moscou, Russie, G-59, SPG-5, 123995, téléphone : +7 

(19)RU (11)2148845 (13)C1

(51) 7 G01V9/00, G01V8/20

SERVICE FÉDÉRAL DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE, DES BREVETS ET DES MARQUES
(COMITÉ RF SUR LES BREVETS ET LES MARQUES)
 
12) DESCRIPTION DE L’INVENTION au brevet de la Fédération de Russie

(14) La date de publication : 2000.05.10

(21)    Numéro d’enregistrement de la demande : 99120836/28

(22)    La date de dépôt de la demande : 1999.10.07

(24) La date réelle d’entrée en vigueur du brevet : 1999.10.07 (46) La date de publication de la formule de l’invention : 2000.05.10

(56) Les analogues de l’invention : RU RU 2107933 С1, 27.03.1998 RU 2050014 С1, 10.12.1995. RU 2098850
С1, 10.12.1997. SU 1104459 А, 23.07.1984.

(71)    Le nom du demandeur : Grigori Grabovoï

(72)    Le nom de l’inventeur : Grigori Grabovoï

(73)    Le nom du titulaire du brevet : Grigori Grabovoï

(98) L’adresse pour la correspondance : 115230, Moscou, Kashirskoye sh. 5-1-66, à Kopaev.V. G.

(54) MÉTHODE DE PRÉVENTION DES CATASTROPHES ET LE DISPOSITIF POUR SA REALISATION

Utilisation : pour la prévention des catastrophes naturelles ou de celles causées par l’homme. Formule : les signaux du rayonnement lumineux provenant de l’élément, qui correspond à la zone de la catastrophe supposée, sont traités au moyen du système optique, qui contient des capteurs fabriqués, par exemple, à partir de cristal de roche, sous la forme de cubes identiques, disposés dans le sens de la propagation du rayonnement et placés dans une sphère de verre. Le dernier cube est relié par fibre optique a un capteur, qui est lui-même relié au système de traitement de l’information par l’intermédiaire de son amplificateur. Un rayon normalisé se forme alors dans le système optique. Il est préférable d’effectuer un relevé des différentes sections de l’élément, par exemple sur la carte de la zone; dans ce cas, la zone ayant des caractéristiques de rayonnements normalisés accrues correspond à la section de la montée de la catastrophe. Ainsi, pour les catastrophes de cause naturelle, la section de l’origine de la catastrophe a des caractéristiques, dépassant de 20-28% les caractéristiques de rayonnement des autres sections de l’élément, et pour les catastrophes de cause humaine, l’augmentation correspondante est de 10-12%. Le résultat technique est l’augmentation de l’efficacité avec l’élargissement simultané du champ d’application de la méthode et du dispositif en question. Le résultat technique est une augmentation de l’efficacité avec une expansion du champ d’application de la méthode et de l’appareil déclarés.


DESCRIPTION DE L’INVENTION  

L’invention peut être utilisée pour la prévention de divers phénomènes catastrophiques aussi bien de type naturel, comme, par exemple, les tremblements de terre catastrophiques, que de type anthropique, par exemple notamment sur les sites industriels.  

La méthode la plus proche de la technique déclarée est la prévention des catastrophes d’origine naturelle, en occurrence des tremblements de terre, et qui consiste à enregistrer et à traiter les signaux qui caractérisent la situation dans la zone de la catastrophe présumée (cf. de l’URSS n° 1030496, cl. E du 02 D 27/34, 1983). Les signaux vibratoires sous forme de fluctuations de la croûte terrestre, qui émanent du foyer du tremblement de terre, sont traités selon cette méthode, au moyen de la grille des récepteurs sismiques, par la réception de signaux électriques. Ces signaux électriques reçus sont ensuite transformés dans le centre de collecte, d’enregistrement et de traitement de l’information en des signaux de contrôle, qui sont ensuite délivrés aux émetteurs construits comme sources de vibrations. Ces signaux produits ou normalisés sont ensuite dirigés vers la zone du centre sismique sous la forme de fluctuations d’ondes élastiques. L’amortissement des fluctuations sismiques est réalisé par l’interaction de ces vibrations élastiques à haute fréquence, qui émanent de ces sources de vibrations, avec les fluctuations des ondes à basse fréquence du foyer sismique.  

L’inconvénient de la méthode actuelle est sa faible efficacité, car la lutte contre un tremblement de terre catastrophique ne se fait que que lorsqu’elle est suffisamment développée ; et de ce fait, il est impératif de pouvoir recevoir à l’avance au centre de traitement de l’information, de collecte et d’enregistrement, un certain nombre de signaux de pronostic. En outre, la méthode actuelle possède des capacités fonctionnelles limitées, puisqu’elle ne peut être utilisée que pour les tremblements de terre et qu’elle n’est pas adaptée à la prévention d’autres phénomènes catastrophiques, comme par exemple, des catastrophes causées par l’homme.  

Le dispositif de prévention des catastrophes naturelles, c’est-à-dire de tremblements de terre, qui se rapproche le plus du dispositif déclaré sur le plan technique, contient le convertisseur de signaux, qui caractérisent la situation dans la zone de la catastrophe présumée, le système d’enregistrement des signaux et l’émetteur, qui génère des signaux, qui facilitent la normalisation de la situation dans la zone de la catastrophe présumée (voir a.s. de l’URSS n° 838014, cl. E du 02 D 31/08, 1981). Le capteur de vibrations qui convertit les fluctuations mécaniques, qui apparaissent avec le tremblement de terre, en signaux électriques, dont la valeur est proportionnelle à l’amplitude des fluctuations mécaniques, est utilisé dans cet appareil comme convertisseur de signaux. Le système de traitement des signaux se compose d’un préamplificateur, des unités de génération de la fréquence de base, du bloc de suivi automatique de la phase, dans lequel le signal utile est déphasé à 180°, et de l’amplificateur de commande. L’émetteur se présente sous la forme d’un vibro-compresseur, qui génère des fluctuations qui sont en phase inversée avec les fluctuations, qui apparaissent pendant les tremblements de terre, ce qui contribue à la normalisation de la situation dans la zone où le tremblement de terre a frappé.  

L’inconvénient de l’appareil connu réside dans ses possibilités fonctionnelles limitées, puisqu’il n’est applicable que lorsqu’un tremblement de terre catastrophique frappe. En outre, le fonctionnement de ce dispositif entraîne des dépenses considérables en raison d’une consommation d’énergie particulièrement élevée, due à un besoin de générer de puissantes fluctuations mécaniques sur une période assez longue.  

L’objectif de la présente invention est l’augmentation de l’efficacité de la méthode de prévention des catastrophes avec simultanément l’expansion des capacités fonctionnelles de la méthode et du dispositif déclarés, utilisés pour sa réalisation, ainsi que la réduction des dépenses pour la réalisation de la méthode.    

La solution des problèmes indiqués est assurée par les nouvelles méthodes de prévention des catastrophes par le biais de la prévoyance active et opérationnelle d’une catastrophe naissante et par la production de signaux qui normalisent la situation dans la zone de la catastrophe présumée. Cette nouvelle méthode de prévention des catastrophes est possible grâce à ce nouveau dispositif.  

Conformément à l’invention, la méthode de prévention des catastrophes est réalisé au moyen de l’enregistrement et du traitement de signaux qui rendent compte de la situation dans la zone de la catastrophe présumée ; dans ce cas, les signaux de la radiation lumineuse de l’élément en question, qui correspond à la zone de la catastrophe présumée, sont traités au moyen du système optique qui consiste en des éléments de détection, faits de cristaux orientés, localisés consécutivement dans la direction de l’émission reçue, de plus ils forment en elle une émission normalisée permettant de corriger la situation dans la zone de la catastrophe supposée; dans ce cas, il est préférable de procéder à un examen continu des différentes sections de l’élément, qui correspond à la zone de la catastrophe supposée, en déterminant la section de montée en puissance de la catastrophe en fonction de l’augmentation des caractéristiques du rayonnement sortant du système optique, par rapport aux caractéristiques de rayonnement d’autres sections ; les sections de montée des catastrophes naturelles devraient être déterminées en fonction de l’augmentation des caractéristiques de rayonnement, qui correspondent à cette section, de 20 à 28% par rapport aux caractéristiques de rayonnement d’autres sections ; la section de montée d’une catastrophe causée par l’homme devrait être déterminée en fonction de l’augmentation des caractéristiques de rayonnement, de 10 - 12% dans cette section, par rapport aux caractéristiques de rayonnement d’autres sections.  

Conformément à l’invention, le dispositif de prévention des catastrophes contient
•        un convertisseur de signaux, qui permet de connaître la situation dans la zone de la catastrophe présumée,
•        le système d’enregistrement des signaux, et
•        l’émetteur, générateur de signaux, dont le rôle est de faciliter la normalisation dans cette zone ; dans ce cas, le convertisseur de signaux et données correspond à la zone de la catastrophe présumée, et
•        le système optique, qui contient des éléments de détection, obtenus grâce des cristaux orientés, placés consécutivement dans la direction du rayonnement lumineux reçu, et qui sont sous forme de cubes identiques, décalés les uns par rapport aux autres et dont les axes optiques ont chacune une orientation différente ; en outre, les surfaces des cubes sont positionnées en parallèle,
•        la sphère de verre, contenant les cubes ; les cubes formant une structure transparente homogène avec la sphère de verre,
•        et le capteur de l’émission normalisée, connecté au moyen de la fibre optique au dernier cube, dans la direction de propagation de l’émission ; et dans ce cas, le capteur est connecté au système de traitement de l’information, fourni avec le progiciel de traitement des signaux des capteurs; ici, il est préférable de produire un convertisseur de signal-données en combinant le système optique et la carte de la zone où le tremblement de terre catastrophique supposé doit avoir lieu ; le convertisseur signal-données doit être produit sous la forme d’une combinaison du système optique et du système de télémétrie avec un moniteur, qui reproduit l’élément correspondant à la zone de la catastrophe présumée provoquée par l’homme ; le système processeur doit être fourni avec tous les paramètres possibles des zones des catastrophes supposées.  

La présente invention est basée sur la théorie de synthèse des ondes développée par l’auteur en combinaison avec la formule de la réalité générale (voir la thèse de Doctorat en Physique et Mathématiques de Grigori Grabovoï, « Recherche et analyse des définitions fondamentales des systèmes optiques pour la prévision des tremblements de terre et des catastrophes sur les sites de production », Moscou, maison d’édition de l’Académie Russe des Sciences Naturelles, 1999, pp. 9-19). Conformément à la théorie de la synthèse des ondes, la réalité peut être considérée comme une intersection périodique de zones stationnaires avec des zones dynamiques. Dans ce cas, la synthèse de l’onde dynamique avec l’onde stationnaire a lieu dans lesdites zones d’intersection. Dans les cristaux, un processus similaire rend possible, par la résolution du problème inverse, d’obtenir du milieu stationnaire sous forme de cristal les composantes dynamiques de la synthèse d’ondes, c’est-à-dire la phase du temps. Grâce à la disposition tridimensionnelle spécifique des cristaux, la normalisation du milieu, qui est la source d’un certain élément de lumière, a lieu.    

Ainsi, il est possible de normaliser le milieu, dont les informations sont contenues dans l’élément de lumière. En outre, il est possible de déterminer le moment de l’écart par rapport à la norme après que les recours du système optique ont été épuisés, par exemple pour déterminer le moment du tremblement de terre ou de la catastrophe. L’utilisation de l’émetteur sous forme de microprocesseur contribue à la normalisation de la situation dans la zone de la catastrophe présumée ; la normalisation de la situation dans la zone de la catastrophe présumée est réalisée au moyen du système optique qui reçoit les informations du milieu rayonnant ; le système optique est constitué de cristaux orientés, situés consécutivement dans la direction du rayonnement lumineux reçu. La carte de la zone ou le système de télémétrie avec le moniteur peut être utilisé comme support rayonnant. Avec l’entrée de la lumière du milieu rayonnant vers les éléments de détection du système optique, l’action initiale de normalisation du milieu rayonnant par le premier cristal se produit au moment où l’élément de lumière, émanant du troisième cristal, passe à travers le quatrième cristal, et l’action suivante de normalisation est accomplie avec le passage de l’élément de lumière à travers tous les cristaux. La lumière sert de support de données car elle permet de visualiser et d’enregistrer les lois des connexions, déterminées par la formule de la réalité générale. Le processus peut être intensifié par l’utilisation de l’émission de rayons laser. Le capteur d’émission normalisée, par exemple sous la forme d’un capteur de température, relié au dernier élément de détection, peut être utilisé comme source d’obtention d’informations de sortie. L’enregistrement des signaux entrants dans le capteur, est effectué au moyen du processeur, qui est connecté au capteur et à l’émetteur. L’utilisation de l’ensemble des programmes du processeur, qui contiennent tous les paramètres possibles des zones des catastrophes supposées, permet d’augmenter l’efficacité du dispositif déclaré. En règle générale, la méthode et le dispositif déclarés permettent de convertir, en diminution ou en prévention, les informations sous forme d’impulsions lumineuses sur les catastrophes naturelles ou d’origine humaine, dans ce cas la prévision et la prévention de tous les phénomènes catastrophiques possibles peuvent être effectuées à partir de n’importe quel point de l’espace.  

Les schémas ci-joints présentent : La Fig. 1 est la configuration des éléments de détection dans le circuit optique (vue en projection sur le plan OX, OZ, où OX est dans le sens horizontal, OZ est dans le sens vertical), la Fig. 2 est la configuration des éléments de détection dans le circuit optique (vue en projection sur le plan OX, OY), la Fig. 3 est la vue générale du dispositif, utilisé pour la réalisation de la méthode de prévention des catastrophes.  

L’appareil contient : les éléments de détection 1, 2, 3, 4, 5, 6 et 7, fabriqués sous forme de cubes de taille identiques, disposés dans une sphère en verre 8, et formant avec elle un système monolithique transparent, la fibre optique 9 qui relie le dernier élément de détection au capteur d’émission normalisée 10, le laser 11, l’élément 12, qui correspond à la zone de la catastrophe supposée, par exemple une carte de la région, l’amplificateur des signaux 13, qui entrent ensuite par le capteur établi à l’entrée du système processeur 14, fourni avec le paquet de programmes de traitement des signaux, qui entrent ensuite par le capteur qui est connecté à l’écran 15 et à l’émetteur des signaux 16, qui facilitent la normalisation de la situation dans la zone de la catastrophe supposée, et objet 17, qui génère des bio-signaux.  

Le nombre d’éléments de détection dans le système optique peut être choisi égal à 7, 14 et ainsi de suite. Les éléments de détection 1 à 7 sont fabriqués à partir de cristaux, par exemple de cristal de roche ou de diamants, taillés en forme de cubes de même dimension, dont la longueur de la face du cube est de 20 mm par exemple. Lors de la fixation des cubes par le matériau de la sphère de verre, les huit faces latérales de tous les cubes sont placées en parallèle. La disposition des cubes 1-7 dans la sphère 8 et l’orientation de leurs axes optiques sont choisies de manière à prévenir les phénomènes catastrophiques et à parvenir à une harmonisation, par exemple des tremblements de terre. Les cubes sont déplacés dans deux plans mutuellement perpendiculaires comme le montrent les Fig.1 et Fig.2. Les paramètres de sortie du système optique sont enregistrés à l’aide d’un capteur d’émission normalisée 10, situé sur le côté de la sphère 8, opposé par rapport à la zone 12 de la carte. Il est préférable de fabriquer le capteur 10 sous la forme d’un matériau en film, une membrane à faible inertie et très sensible, qui est utilisé, par exemple, pour les capteurs de température. L’utilisation du laser 11 permet d’augmenter la précision de la mesure des signaux, entrant à partir du capteur 10. L’application de l’objet, qui génère des bio-signaux, contribue en outre à la normalisation de la situation dans la zone de la catastrophe présumée. Le travail de l’appareil est considéré avec la description des méthodes déclarées pour la prévention des catastrophes.    

Conformément à la méthode déclarée, le rayonnement lumineux émanant de l’élément 12 qui correspond à la zone de la catastrophe présumée, fabriqué, dans ce cas, sous la forme d’une carte à l’échelle réelle, est dirigé vers le système optique, qui se compose d’une sphère de verre 8 avec des éléments de détection 1-7 à l’intérieur de celle-ci ; les éléments de détection sont constitués de cristaux orientés, situés successivement dans la direction du rayonnement lumineux reçu. La conversion du rayonnement lumineux dans un tel système optique (voir fig. 3) permet d’isoler une certaine forme maximale de volume lumineux normalisé. La normalisation est obtenue par le passage de l’élément de la lumière à travers les éléments de détection 1-7 ; la disposition mutuelle des éléments de détection 1-7 provoque l’harmonisation de ce volume de lumière qui, à son tour, normalise la situation dans la zone de la catastrophe supposée. La valeur de la diminution du phénomène catastrophique correspond dans ce cas à l’importance du volume lumineux normalisé. Les signaux du capteur de rayonnement normalisé 10 après le passage à travers l’amplificateur 13 sont transférés au système de traitement 14, qui contient l’ensemble des programmes de traitement des signaux entrants. Après le traitement des signaux, l’image des caractéristiques des signaux est reçue sur l’écran 15. Lorsqu’un phénomène catastrophique se profile, l’émetteur 16 est activé, et des signaux supplémentaires, qui facilitent la normalisation de la situation dans cette zone, sont envoyés dans la zone de la catastrophe présumée. 

Il est préférable d’effectuer un examen continu des différentes sections de l’élément 12, qui correspond à la zone de la catastrophe présumée, au moyen d’une absorption successive des rayonnements provenant de l’élément 12 sur tous les éléments de détection 1 à 7. Dans ce cas, la section de montée d’une catastrophe est déterminée par une augmentation des caractéristiques de rayonnement dans cette section par rapport aux caractéristiques de rayonnement d’autres sections. Lorsqu’une catastrophe naturelle se déclenche, en occurrence un tremblement de terre, la section d’origine de la catastrophe présente des caractéristiques de rayonnement qui dépassent de 20 à 28 % les caractéristiques des autres sections de l’élément 12. Si les caractéristiques des rayonnements augmentent de moins de 20 %, aucun phénomène catastrophique ne se produira, et si les caractéristiques des rayonnements augmentent de plus de 28 %, on peut conclure au développement d’un phénomène catastrophique de nature extraordinaire ; en cas de montée d’une catastrophe causée par l’homme, par exemple, liée à des perturbations, liée à des perturbations du circuit technologique d’un réacteur nucléaire, la section d’origine de la catastrophe est déterminée sur la base de l’augmentation des caractéristiques des rayonnements de 10 à 12 %. Si les caractéristiques des rayonnements augmentent de moins de 10 %, aucun phénomène catastrophique ne se produira, tandis qu’avec l’augmentation des caractéristiques des rayonnements de plus de 12 %, on peut s’attendre à un déroulement d’événements extrêmes.  

Des exemples de réalisation de la méthode déclarée avec l’utilisation d’un modèle de pré-production de l’appareil déclaré sont donnés ci-dessous. L’appareil contient le système optique, qui consiste en une sphère de verre à l’intérieur de laquelle se trouvent successivement sept éléments de détection. Les éléments de détection sont fabriqués à partir de cristal de roche sous forme de cubes de même taille avec une longueur de face de 20 mm. Le capteur de rayonnement normalisé est connecté à travers la fibre optique, selon la direction de propagation du rayonnement lumineux, au dernier cube. Le capteur de rayonnement normalisé se présente sous la forme d’un capteur de température à fine membrane. Le capteur à travers l’amplificateur est connecté à l’entrée du processeur du système, construit avec la capacité de calculs accélérés de l’intégrateur quadruple.  

Exemple 1. La montée d’un tremblement de terre catastrophique dans la région du Kamchatka a été examinée. La sphère de verre 8 avec les éléments de détection 1-7  a été placée à une distance de 250 mm de la carte du Kamtchatka à échelle réelle, dans ce cas le capteur de rayonnement normalisé 10 était situé sur la surface de la sphère 8 inversée par rapport à la carte. Les signaux, provenant du capteur 10, passaient par l’amplificateur 13 et entraient dans le système du processeur 14, où ils étaient continuellement traités, enregistrés et dérivés pour s’afficher sur l’écran 15. Les opérations de mesure ont été effectuées le 26 juin 1999, à 9 h 03 du matin. Un tremblement de terre de magnitude 5,1 dans la région du Kamtchatka était prévisible. Le tremblement de terre a eu lieu le 3 juillet 1999 à 9h03. Dans ce cas, la diminution de l’ampleur due à l’utilisation de l’appareil déclaré était de 0,4.  

Exemple 2. Dans les mêmes conditions que dans l’exemple précédent, le relevé des données de l’élément 12 a été effectué. L’élément 12 correspondait à la zone présumée du tremblement de terre, sur la carte du Japon. Un tremblement de terre d’une magnitude de 6,2 était prévisible. Le tremblement de terre a eu lieu à 9 h 03 le 3 juillet 1999. Une baisse de l’ampleur par rapport à la valeur initialement prévue a permis d’atteindre 0,8.  

Exemple 3. La carte de l’Alaska a été scannée dans des conditions similaires à celles de l’exemple 1. Le jour exact d’un tremblement de terre de 4,8 a été défini. Le tremblement de terre a eu lieu le 4 juillet 1999 à 19h26. Dans ce cas, la diminution de l’ampleur était de 0,5.  

Exemple 4. Dans des conditions similaires à celles de l’exemple 1, on a procédé à un scanning de la carte des Philippines. Une prévision de la période précise du tremblement de terre de 4,0 a été effectuée. Le tremblement de terre a eu lieu à 13h32 le 4 juillet 1999. La diminution de la magnitude due à l’utilisation de l’appareil déclaré a atteint 0,2   L’analyse des données reçues montre dans tous les cas une confirmation complète de la phase de prévision, soit 7 jours avant le séisme, avec indication précise de l’heure du démarrage du tremblement de terre. La perte de valeur de la magnitude due à l’utilisation de l’appareil concerné se situait dans une fourchette de 0,2 à 0,8..    

Les avantages de la méthode présentée et du dispositif pour sa réalisation se résument en une efficacité plus grande, grâce à la prévision précise de la survenance des phénomènes catastrophiques et à la possibilité de normaliser à distance les zones des catastrophes supposées. Simultanément, cette méthode déclarée et le dispositif pour sa réalisation ont un champ d’application beaucoup plus large par rapport à ceux existants, puisqu’ils peuvent être utilisés pour la préparation et la prévention de catastrophes naturelles ou causées par l’homme, tandis qu’une parfaite propreté écologique sera observée à la suite de leur utilisation. En outre, les dépenses pour la réalisation de ce système sont réduites en raison de la simplicité de ses opérations et de la possibilité d’une utilisation répétée de ce dispositif, servant ainsi à la réussite de la méthode.

FORMULE DE L’INVENTION

1.    Le procédé de prévention des catastrophes, qui comprend l’enregistrement et le traitement des signaux qui caractérisent la situation dans la zone de la catastrophe supposée, se distingue par le fait qu’il traite les signaux du rayonnement lumineux de l’élément qui correspond à la zone de la catastrophe supposée, au moyen du système optique, qui consiste en des éléments de détection, fabriqués à partir de cristaux orientés et situés consécutivement dans la direction de l’émission reçue, en même temps qu’ils forment dans le système optique un rayonnement de normalisation pour ramener à la norme la situation dans la zone de la catastrophe supposée.

2.    La méthode sur p.1, qui est caractérisée par le fait que l’on effectue un relevé continu des différentes sections de l’élément, qui correspond à la zone de la catastrophe supposée ; dans ce cas, la section de montée de la catastrophe est déterminée par l’augmentation des caractéristiques du rayonnement, qui émergent du système optique par rapport aux caractéristiques du rayonnement d’autres sections.

3.    La méthode du p.2, qui se distingue par le fait que la section dans laquelle survient une catastrophe naturelle est déterminée par l’augmentation des caractéristiques de rayonnement, correspondants à cette section et qui diffèrent de 20 à 28 % des caractéristiques de rayonnement des autres sections.

4.    Méthode de la p.2, qui se démarque par le fait que la section de montée en puissance d’une catastrophe provoquée par l’homme est déterminée par une hausse de 10 à 12% des caractéristiques de rayonnement dans cette section, par rapport aux caractéristiques de rayonnement dans d’autres sections.

5.    Le dispositif de prévention des catastrophes, qui contient le convertisseur de signaux et de données, permettant de caractériser la situation dans la zone de la catastrophe présumée, le système d’enregistrement des signaux et l’émetteur générant les signaux, facilite la normalisation de la situation dans cette zone, qui est caractérisée par le fait que le convertisseur de signaux est constitué d’un élément correspondant à la zone de la catastrophe supposée, et du système optique, qui contient des éléments de détection, fabriqués avec des cristaux orientés, positionnés de manière consécutive dans la direction du rayonnement lumineux reçu, les cristaux se présentent sous forme de cubes identiques, décalés les uns par rapport aux autres, et ayant une orientation différente des axes optiques, avec les plans correspondants des cubes situés en parallèle; une sphère de verre qui contient tous les cubes qui, avec la sphère, forment une structure transparente continue ; et le capteur de rayonnement normalisé connecté par fibre optique au dernier cube, en dernier lieu selon la direction de propagation de l’émission ; en outre, le capteur est connecté au système de traitement, doté de l’ensemble des programmes pour le traitement des signaux du capteur.

6.    Le dispositif selon p.5, est caractérisé par le fait que le convertisseur signal-données est fabriqué sous la forme d’une combinaison du système optique et de la carte de la zone où un tremblement de terre catastrophique est censé frapper.

7.    Le dispositif selon p.5 est caractérisé par le fait que le convertisseur de signal-données est fabriqué sous la forme d’une combinaison du système optique et du système de télémétrie avec le moniteur, qui affiche l’élément correspondant à la zone de la catastrophe présumée causée par l’homme.

8.    Le dispositif selon p.5 est caractérisé par le fait que l’ensemble des programmes du système processeur comprend tous les paramètres possibles des zones des catastrophes présumées.



Brevet

Système de transfert d’information afin d’assurer le développement éternel

Le 06 juillet 2000

La traduction de l’anglais vers le français réalisée par M. Saubidet 2020 Grigori Grabovoï
Hongrie : EHL Development Kft., 2013. - – 8 p. ISBN - 978-615-5317-77-4  
GRIGORI Grabovoï ® ©
Grabovoï G.P., 2000 ©
Grabovoï G.P. Traduction Française, 2020 Tous droits réservés.  
ISBN 978-615-5317-77-4


Le système de conversion de la pensée en rayonnement lumineux, qui apparaît lors du processus de pensée et de concentration lors de l’utilisation des œuvres de Grigori Grabovoï, pour le transfert d’informations dans le but de faire une normalisation du contrôle et de la formation, est protégé par un brevet d’invention de Grigori Grabovoï « Système de transmission d’informations ». Le document de description du brevet mentionne que « Il découle de la théorie de la synthèse des ondes et des lois de la mécanique quantique qu’une pensée convertie en rayonnement peut avoir simultanément deux états quantiques ».

(Voir Grigori Grabovoï “Issledovaniya i analiz fundamentalnykh opredelenii opticheskikh system v predotvraschenii katastroph i prognozno-orientirovannom upravlenii mikroprocessami”) .

(Grigori Grabovoï  « Recherche et analyse des définitions fondamentales des systèmes optiques dans la prévention des catastrophes et le contrôle des microprocessus orientés vers la prévision»»), Ingénierie électronique, série 3, Microélectronique”, 1999, iss 1 (153), p. 10). « Le système déclaré de transmission d’informations fonctionne de la manière suivante. L’homme, qui génère une pensée, agit comme un opérateur (non indiqué), qui transmet l’information ».  

Par conséquent, le transfert de données au moyen de la pensée vers n’importe quel système a été breveté. Cela permet de diriger le rayonnement normalisant de la pensée, formé par les travaux de Grigori Grabovoï au niveau de l’organisme et de l’environnement, vers le domaine du développement éternel  et de créer ainsi la vie éternelle. Le brevet d’invention de Grigori Grabovoï « Système de transmission d’informations »,”Information-Carrying System” n° 2163419 du 20 février 2001 est disponible sur Internet sur le site officiel du Service Fédéral de Russie pour la Propriété Intellectuelle, les Brevets et les Marques www1.fips.ru Adresse : Berezhkovskaya nab. 30, bâtiment 1, Moscou, Russie, G-59, SPG-5, 123995, téléphone : +7 (499) 240-60-15, fax : +7 (499) 243-33-37.  

(19) RU (id 2163419 (13) C1
(51) 7 H04B10/30
SERVICE FÉDÉRAL DES LES BREVETS ET LES MARQUES POUR LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE, (COMITÉ RF SUR LES BREVETS ET LES MARQUES)  
(12) DESCRIPTION DE L’INVENTION  
au brevet de la Fédération de Russie
(14) La date de publication : 2001.02.20
(21)   Numéro d’enregistrement de la demande : 2000117595/09
(22)   La date de dépôt de la demande : 2000.07.06 (24) La date de validité du brevet : 2000.07.06 (46) Date de publication de la formule de l’invention : 2001.02.20
(56) Les analogues de l’invention : SU 2111617 A1, 20.05.1998. GRIGORI Grabovoï. Recherche et Analyse des Définitions Fondamentales des Systèmes Optiques pour la Prévision des Tremblements de Terre et des Catastrophes de Nature Industrielle”, Moscou, maison d’édition de l’Académie Russe des Sciences Naturelles, 1999, pp. 9-19 BODYAKIN V.I. Kuda idesh ty, chelovek. Osnovy evolutsiologii. - Moscou. : SINTEG, 1998, s .29-45, 79- 95, 249. (
71)   Le nom du demandeur : Grigori Grabovoï
(72)   Le nom de l’inventeur : Grigori Grabovoï
(73)   Le nom du titulaire du brevet : Grigori Grabovoï
(98) L’adresse pour la correspondance : 115230, Moscou, Kashirskoye sh. 5-1-66, à Kopaev.V. G.    
(54) SYSTÈME DE TRANSMISSION D’INFORMATIONS  

L’invention concerne l’ingénierie des communications et peut être utilisée dans les systèmes de transmission d’informations sans fil. Le résultat technique comprend une augmentation de la performance du système avec simultanément un accroissement de son immunité aux interférences. Dans le système proposé, l’émetteur de signaux contient une unité de détection, qui se compose de capteurs sphériques fabriqués en verre, qui, au moyen de joints de colle, sont solidement fixés sur un support, et sur lequel est installé un module sphérique, fabriqué sous la forme d’une sphère en verre contenant des cellules de détection ; ces cellules de détection sont sous la forme de cubes identiques et sont fabriqués en cristal.  

Le récepteur de signaux est espacé de l’émetteur et contient des composants équivalents : une unité de détection et un module sphérique espacé de celui-ci, qui est fourni avec le dispositif de conversion du rayonnement en signaux de sortie. Les diamètres de tous les éléments de détection, qui font partie de toute unité de détection, doivent être différents, et par exemple, doivent augmenter de taille progressivement. Lors de la transmission d’informations, l’opérateur active les éléments de détection de l’émetteur de signaux. Puis, presque instantanément, le rayonnement d’activation se reproduit dans les éléments   de détection du récepteur de signaux et se trouve normalisé par les éléments de détection du module sphérique. Ce rayonnement normalisé sortant est converti par le capteur en signaux électriques et, après avoir travaillé dans le processeur, les informations transmises entrent dans l’enregistreur.    

DESCRIPTION DE L’INVENTION  

L’invention concerne le domaine de l’ingénierie des communications et peut être utilisée dans les systèmes de transport d’informations, qui utilisent une connexion sans fil entre l’émetteur et le récepteur d’informations, principalement pour la transmission d’informations sur de grandes distances (des milliers de kilomètres).  

Le système le plus ressemblant, selon les caractéristiques techniques, au système déclaré est le système de transport de l’information, qui contient un bloc d’émission comprenant un élément de support sur lequel sont fixés solidement des émetteurs de signaux et, à une certaine distance de celui-ci, un bloc de réception composé d’un élément de support sur lequel sont fixés solidement des récepteurs de signaux et un appareil qui convertit le rayonnement en signaux de sortie (voir le brevet RF n° 2111617, cl. H 04 B 10/00). Ce système utilise des faisceaux laser comme canaux de communication entre l’émetteur et le récepteur de signaux. Chaque émetteur de signaux est fabriqué sous la forme d’un générateur laser avec le dispositif de modulation du faisceau laser par le signal de données, relié à la source des signaux de données. Chaque récepteur de signaux est fabriqué sous la forme d’un appareil photorécepteur et d’un appareil qui convertit le rayonnement laser modulé reçu en signaux de données électriques.  

L’un des inconvénients de ce système de transmission de données est sa faible viabilité, due à la complexité de construction du système qui comprend un grand nombre d’émetteurs et de récepteurs de signaux complexes avec des connexions multifonctionnelles et des systèmes complexes de guidage précis avec des éléments mobiles. Lorsque des informations sont transmises au moyen de ce système entre un émetteur et un récepteur de signaux situés à une distance importante l’un de l’autre, par exemple lors de la transmission d’informations à des milliers de kilomètres avec une navette spatiale automatique équipé d’un réémetteur, le délai de transmission des informations peut être de quelques dixièmes de seconde. L’immunité aux interférences de ce système est insuffisante, car tout obstacle apparaissant sur la ligne de communication laser provoque des interférences dans le fonctionnement du système ou une perturbation des signaux transférés.  

L’objectif  de cette invention est d’accroître la fonctionnalité du système porteur d’informations tout   en garantissant la transmission d’informations en temps réel et une augmentation de l’immunité aux interférences du système. La réalisation de l’objectif indiqué est assurée par le nouveau système de transport de l’information, qui consiste en un émetteur de signaux et un récepteur de signaux espacés de celui-ci, avec une unité de détection dans chacun d’eux ; l’unité de détection est réalisée sous la forme d’éléments de détection de forme sphérique, qui ont des diamètres différents et sont fixés de manière rigide sur la surface de la plaque de support ; et un module sphérique, fabriqué sous la forme d’une sphère de verre avec des éléments de détection répartis dans celle-ci dans une direction et décalés dans deux plans mutuellement perpendiculaires ; les éléments de détection sont fabriqués sous la forme de cubes identiques en cristal ; en outre, les éléments de l’émetteur sont similaires aux éléments du récepteur de signaux, le module sphérique de l’émetteur de signaux est situé sur la surface de la plaque de support, le module sphérique du récepteur de signaux est espacé de son unité de détection et est fourni avec le dispositif de conversion du rayonnement en signaux de sortie.  

Dans ce cas, il est préférable de répartir uniformément les éléments de détection sphériques sur la surface de la plaque élément de support, les centres de ces éléments étant alignés dans des plans parallèles, de placer l’image d’une certaine lettre choisie de l’alphabet, soit l’image d’un certain nombre de la série entière des nombres naturels, soit l’image d’un certain symbole sur la surface de la plaque élément de support de l’émetteur de signaux, à proximité de chaque élément de détection sphérique, localiser sur la surface de la plaque de support les éléments de détection sphériques sous forme de rangées identiques, fabriquer les éléments de détection sphériques avec des diamètres progressivement augmentés, fabriquer le dispositif de conversion du rayonnement en signaux de sortie sous forme de capteur, connecté au moyen d’une fibre optique au cube du module sphérique, qui est le plus éloigné de l’unité de détection du détecteur de rayonnement, connecter le capteur à l’amplificateur avec un processeur connecté à sa sortie.    

La présente invention est basée sur le principe de similitude déterminé par l’auteur, qui est basé sur   la théorie de la synthèse d’ondes développée par l’auteur en combinaison avec la formule de la réalité générale (voir la thèse de doctorat en physique et en mathématiques de Grigori Grabovoï, “Recherche et Analyse des Définitions Fondamentales des Systèmes Optiques pour la Prévision des Tremblements de Terre et des Catastrophes des Sites Industriels), Moscou, maison d’édition de l’Académie des Sciences Naturelles de Russie, 1999, pp. 9-19)  

Conformément à la théorie de la synthèse des ondes, la réalité peut être considérée comme une intersection périodique de zones stationnaires avec des zones dynamiques, dans ce cadre, la synthèse de l’onde dynamique avec l’onde stationnaire a lieu dans des zones d’intersection. Tout phénomène de la réalité peut être déterminée sous la forme de systèmes optiques, et puisque la perception de l’homme est réalisée par des images-éléments de lumière qui contiennent des informations, avec la transmission d’informations au premier stade de l’homme qui génère les informations transférées à l’élément de détection optique qui reçoit les informations, on peut considérer l’homme comme un système optique de transmission unique. L’information transférée, générée par les pensées de l’homme-opérateur, est reçue par l’élément de détection optique, vers lequel l’opérateur dirige les informations générées par sa pensée.   Il existe différents dispositifs optiques, par exemple, l’appareil “Camera-3000”, qui permet d’enregistrer un changement dans l’aura de l’homme (voir Komkov V.N. “Sensory biopolya i aury (Les capteurs du biofield et de l’aura)”. “ Ingénierie Électronique, série 3, Microélectronique “, 1999. numéro 1 (153), p. 23). Comme une pensée fait partie de l’aura, elle peut être transmise sous la forme d’un élément d’un système optique “faible”. Il est préférable de faire de l’élément de détection des informations reçues une sphère, car c’est exactement la forme sphérique du détecteur qui contribue à l’activation maximale de celui-ci en raison de la réflexion interne. Le rayonnement émis par ces détecteurs sphériques activés est léger. Dans ce cas, les caractéristiques individuelles de ce rayonnement correspondent à chaque opérateur qui transmet l’information, ce qui détermine une protection élevée contre les interférences du système déclaré. L’activation individuelle de chaque élément de détection sphérique est assurée par l’utilisation de tout l’ensemble de ces éléments, qui ont des diamètres différents ce qui détermine la différence de rayonnement émis par chaque élément. Il est préférable d’utiliser un ensemble d’éléments de détection de forme sphérique dont les diamètres augmentent progressivement. Le nombre d’éléments de détection de forme sphérique dans l’ensemble peut être différent. Il est préférable de choisir le nombre d’éléments dans l’ensemble qui est égal à la somme des lettres, qui font partie d’un alphabet, et à la somme des nombres, qui font partie de la série naturelle des nombres.  

Tous les éléments sphériques de détection, inclus dans l’ensemble des éléments, sont fixés de manière rigide à la surface d’un élément de support, en occurrence, une plaque. La plaque de support avec ses éléments de détection sphériques fixés sur sa surface forme l’unité de détection. L’émetteur et le récepteur des signaux ont des unités de détection similaires qui assurent la reproduction des informations transférées.  

Il ressort de la théorie de la synthèse des ondes et des lois de la mécanique quantique qu’une pensée convertie en rayonnement peut avoir simultanément deux états quantiques (voir “Issledovaniya i analiz fundamentalnykh opredelenii opticheskikh system v predotvraschenii katastroph i prognozno- orientirovannom upravlenii mikroprocessami” (Grigori Grabovoï “Recherche et Analyse des Définitions Fondamentales des Systèmes Optiques dans la Prévention des Catastrophes et le Contrôle des Microprocessus Orienté vers la Prévision”), “ Ingénierie Électronique, série 3, Microélectronique “, 1999, iss. 1 (153), p. 10). L’un de ces états est sur l’élément de détection de l’émetteur de signaux, et un autre est sur l’élément de détection du récepteur de signaux. Afin de faciliter le travail de l’opérateur, qui génère les informations transférées, il est préférable de répartir les éléments de détection sphériques de manière égale sur la surface de la plaque de support et de localiser les centres de ces éléments dans des plans parallèles, ainsi que de les aligner en rangées identiques.    

En outre, il y a une image d’une lettre correspondante de l’alphabet, d’un chiffre ou d’un symbole spécifique peinte sur la surface de la plaque de support de l’émetteur de signaux près de chaque élément de détection sphérique. Le module sphérique avec ses capteurs fixes consécutifs à l’intérieur, conçus sous forme de cubes identiques en cristal, peut être utilisé, au début, en même temps que la transmission d’informations par les éléments de détection sphériques. A condition qu’il y ait un arrangement mutuel spécifique des cubes, la normalisation du rayonnement, initiée par la pensée de l’opérateur-homme, qui caractérise la combinaison spécifique des lettres d’un mot, aura lieu dans les cubes.  

Dans la deuxième phase de transmission des informations, le rayonnement émis par un élément de détection sphérique, suivant le principe de similitude en temps réel, est en fait reproduit instantanément dans un autre élément de détection sphérique similaire, qui fait partie de l’unité de détection du récepteur de signaux. Ensuite le rayonnement pénètre dans le module sphérique du récepteur de signaux, qui est semblable au module sphérique émetteur de signaux Le module sphérique du récepteur de signaux est réalisé sous la forme d’une sphère de verre, qui contient des éléments de détection fixes répartis dans une direction et déplacés dans deux plans mutuellement perpendiculaires, fabriqués sous la forme de cubes identiques en cristal.  

Une fois que le rayonnement a pénétré dans le premier cube, le plus proche de l’unité de détection du récepteur, la normalisation initiale du rayonnement par le premier cube se produit au moment où le rayonnement émanant du troisième cube traverse le quatrième cube. L’action suivante de normalisation a lieu avec le passage du rayonnement à travers tous les cubes. La lumière est choisie comme support de données car elle permet de visualiser et d’enregistrer les lois des connexions, déterminées par la formule de la réalité générale. Le rayonnement, qui est émis par tout élément sphérique de détection du récepteur de signaux, après normalisation dans le module sphérique du récepteur, sort du cube, le plus éloigné de l’unité de détection ; dans ce cas, l’importance du rayonnement normalisé sortant dépend du diamètre de l’élément sphérique de détection de l’émetteur de signaux qui est similaire à l’élément sphérique de détection rayonnant du récepteur de signaux.  

L’unité de détection et le module sphérique de l’émetteur de signaux sont fabriqués de manière similaire aux éléments correspondants du récepteur de signaux ; toutefois, ils peuvent avoir des dimensions géométriques différentes. Ainsi, les dimensions géométriques des éléments du récepteur de signaux peuvent être 3 à 5 fois supérieures aux dimensions des éléments équivalents de l’émetteur. Un convertisseur optique sous forme de détecteur de rayonnement et de microprocesseur, qui convertit l’intensité du rayonnement en données numériques, ou un capteur de rayonnement normalisé, connecté au dernier cube au moyen de la fibre optique et relié par l’amplificateur de signal électrique au processeur, qui a un contrôle programmé, peut être utilisé comme un dispositif qui convertit le rayonnement sortant du dernier cube.  

Les dessins ci-joints illustrent : La figure 1 est la vue générale du système porteur d’informations (vue en isométrie), la figure 2 est l’unité de détection (vue de face), la figure 3 est un élément de détection sphérique isolé qui est fixé rigidement sur l’élément de support.  

Le système porteur d’informations déclaré contient l’unité de détection du récepteur des signaux 1, qui contient l’élément de support 2 avec les éléments de détection sphériques uniformément répartis, fixés solidement sur sa surface 3 ; le module sphérique de l’émetteur des signaux 4, qui contient une sphère de verre 5, avec les éléments de détection 6 fixés à l’intérieur sous la forme de cubes identiques ; l’unité de détection du récepteur de signaux 7, qui est similaire à l’unité analogue de l’émetteur de signaux et qui contient également l’élément de support 8 et les éléments de détection sphériques 9 fixés de manière rigide sur celui-ci ; le module sphérique récepteur de signaux 10, qui est similaire au module analogique émetteur de signaux et qui contient également une sphère de verre 11 avec des éléments de détection internes fixes 12, réalisés sous la forme de cubes identiques ; le capteur de rayonnement normalisé  13 avec un amplificateur 14 qui lui est connecté, connecté à la prise d’entrée du processeur 15 avec le contrôle automatisé auquel est connecté l’écran 16 et l’enregistreur 17 ; dans ce cas, chaque élément de détection sphérique est fixée de manière rigide sur la surface de l’élément de support au moyen de l’élément de fixation 18.    

Il est préférable de fabriquer les éléments de détection sphériques 3 et 9 à partir d’un matériau transparent, par exemple du verre. Les diamètres de tous ces éléments de détection, intégrés dans une unité de détection quelconque, par exemple dans l’unité de réception des signaux sur la plaque 1, doivent être différents ; à noter que chaque diamètre correspond à une certaine lettre, un certain nombre ou un certain symbole. Il est préférable d’avoir des diamètres qui augmentent graduellement de taille, par exemple, de 1 à 53 mm De même, tous les diamètres de tous les éléments de détection sphériques du type 9, qui font partie de l’unité de détection réceptrice des signaux 7, doivent être différents. Chaque élément de détection sphérique est fixé de manière rigide sur la surface de l’élément, la plaque de support correspondant  au moyen de l’élément de fixation 18, par exemple, par une colle forte. Il est recommandé de placer les éléments de détection sphériques sur la surface de la plaque de support en rangées identiques (voir figure 2, une partie des éléments est non indiquée), avec le diamètre de ces éléments qui va croissant graduellement dans chaque rangée.          

Chaque module sphérique 4 ou 10 (voir Fig. 1) contient une sphère de verre. Par exemple, le module sphérique de l’émetteur de signaux 4 contient une sphère en verre 5, à l’intérieur de laquelle sont fixés et répartis le long de la ligne droite, perpendiculairement à la surface de l’élément de support 2, des éléments de détection 6, réalisés sous la forme de cubes identiques, qui, avec la sphère, forment un seul et même système. Le nombre de cubes peut être égal à 7, 14, etc. En général, on utilise sept cubes. Les cubes 6 ou 12 sont en cristal, ou en diamant ou en cristal de roche, par exemple. Les cubes disposés de manière consécutive dans le module sphérique ont des axes optiques avec des orientations différentes. Les faces des cubes adjacents sont situées parallèlement, bien que les cubes soient déplacés sur deux plans mutuellement perpendiculaires. Il est recommandé de placer le module sphérique de l’émetteur des signaux 4 au centre de l’élément de support 2. Le module sphérique du récepteur des signaux 10 est espacé de l’unité de détection du récepteur des signaux 7, de préférence à une distance de 200 à 1000 mm.

Le système de transmission d’information déclaré fonctionne de la manière suivante. L’homme, qui génère la pensée, agit comme un opérateur (à défaut d’être indiqué), qui transmet l’information. En 0,1 à 5 secondes (le temps dépend du champ bioénergétique de l’homme), l’opérateur active les éléments de détection 3 de l’unité de détection de l’émetteur des signaux sur la plaque 1. Les signaux provenant du système optique de l’opérateur sont intensifiés par les éléments de détection sphériques 3 de l’émetteur de signaux et, en temps réelle, sont immédiatement reproduits dans les éléments de détection correspondants 9 du récepteur de signaux, dans ce cas, le signal, transféré par un élément quelconque de l’émetteur 3, est reproduit par un élément similaire 9 des récepteurs en vertu de la loi de similitude. Le rayonnement des éléments de détection 9 du récepteur de signaux est alors converti par les éléments de détection 12 (cubes) du module sphérique du récepteur de signaux 10. Le volume d’information transféré correspond au volume d’information contenu dans l’image optique générée. Par exemple, l’information contenue dans un lecteur de CD, une fois perçue par l’opérateur, peut être entièrement transmise au récepteur de signaux.    

Avec le passage du rayonnement à travers les éléments 12, en forme de cubes, la normalisation de la forme du volume de lumière, conditionné par la disposition des cubes entre eux, a lieu. Dans ce cas, une certaine proportion de rayonnement normalisé, qui émane du récepteur des signaux 8 en provenance du cube 12, situé le plus éloigné de l’unité de détection, correspond à chaque diamètre de chaque élément de détection sphérique 9. Le rayonnement normalisé, qui émane de ce cube, est transféré au capteur de rayonnement normalisé 13 à travers la fibre optique, et les signaux électriques entrant du capteur après être passés par l’amplificateur 14 entrent dans le processeur 15 par une commande programmée. Les signaux traités dans le processeur 15, qui correspondent aux informations transmises sous forme de lettres, de chiffres et (ou) de symboles, apparaissent sur l’écran 16 et entrent dans le dispositif d’enregistrement 17, lequel comporte des unités d’enregistrement et de stockage des informations entrantes pour leur traitement ultérieur.  

Le système de transmission des informations déclaré, par rapport au système connu, est beaucoup plus facile à entretenir, car la construction du système déclaré est simplifiée au maximum et il n’y a pas d’éléments mobiles. Le système déclaré, contrairement au système connu, assure la transmission des informations sur des kilomètres importants (plusieurs milliers de kilomètres) sans aucun retard de transmission. En outre, le système déclaré a une plus grande immunité aux interférences, puisque les obstacles entre le récepteur et l’émetteur de signaux ne nuisent pas à la transmission des informations.  

FORMULE DE L’INVENTION  

Le système porteur d’informations, qui consiste en un émetteur de signaux et, à une certaine distance de celui-ci, en un récepteur de signaux, chacun d’eux contenant une unité de détection, se présentant sous la forme de capteurs optiques sphériques, de diamètres différents, fixés rigidement sur la surface d’une plaque de support, et un module sphérique, produit sous forme de sphère de verre, avec à l’intérieur des éléments de détection optique fixes, répartis dans une direction et déplacés sur deux plans mutuellement perpendiculaires, fabriqués sous forme de cubes identiques en cristal : en cristal de roche ou en diamant ; de plus, les éléments de l’émetteur sont similaires aux éléments du récepteur de signaux, le module sphérique de l’émetteur est situé sur la surface de la plaque de support de son unité de détection, et les éléments de détection optique de l’émetteur reçoivent les informations transférées par l’opérateur, le module sphérique du récepteur de signaux est espacé de son unité de détection et est connecté au dispositif de conversion du rayonnement en signaux de sortie.   Le système sur le schéma 1 se distingue par le fait que les éléments de détection optique sphériques sont répartis uniformément sur la surface de l’élément de support, avec les centres de ces éléments alignés en plans parallèles.  

Le système représenté sur schéma 1 ou /et 2, se distingue par le fait que l’image d’une certaine lettre de toutes les lettres de l’alphabet, ou d’un certain numéro de tous les nombres naturels, ou d’un certain symbole de forme arbitraire est peinte sur la surface de l’élément de support de l’émetteur de signaux à proximité de chaque élément sphérique de détection optique.  

Le système présenté sur le schéma 1 diffère par le fait que des éléments de détection optique sphériques sont situés sur la surface de l’élément de support sous la forme de rangées identiques.  

Le système sur chacun des points précédents diffère par le fait que les diamètres des différents éléments de détection optique sphériques augmentent graduellement.  

Le système sur le schéma 1 diffère par le fait que la surface de l’élément de support est placée orthogonalement par rapport à la direction dans laquelle les cubes du module sphérique sont distribués.    

Cette impulsion interne s’avère aussi statique, car elle se manifeste au sein d’un immense système stationnaire. Et puisqu’il existe un retour d’information, le système stationnaire extérieur émet une impulsion qui dirige le système local vers la vie éternelle.  

Une simple transition s’effectue de ce modèle de pensée pour démontrer que l’information du monde extérieur est projetée à l’intérieur de l’être humain. Celui-ci possède sûrement les connaissances sur la vie éternelle et sur l’évolution éternelle. Il peut les mettre en pratique en étudiant, plus ou moins intensément, la construction du monde extérieur. Cela ne dépend que de lui-même. En fonction de son application, l’homme peut accélérer ou ralentir le développement éternel du monde, sans pour autant détourner l’ensemble du but.  

Par conséquent, sachez que toute action que vous accomplissez localement contribue d’une façon ou d’une autre à la mise en place de la vie éternelle. De ce fait, il vaut mieux comprendre où l’événement se produit, quels liens seront relevés par la suite, pour agir sur la base des acquis. La connaissance doit assurer les événements subséquents directement liés au présent.   Lorsque les événements subséquents surviennent alors que le présent est encore là, la vie éternelle est pleinement assurée. C’est l’évidence même. Cependant, pour que le chaînon suivant de la chaîne des événements soit inscrit dans cette logique, nous devons appliquer ce principe : un événement initial extérieur constitue une grande enveloppe, et le suivant représente une impulsion à l’intérieur de l’information élargie relative aux événements passés. Il s’ensuit que les événements futurs sont définis en vue d’assurer la vie éternelle à l’homme. En l’occurrence, il est évident que les réponses impulsionnelles créent une éternité incessante. Dans ce contexte, et chaque fois que nous poursuivons l’objectif d’évoluer éternellement, les impulsions de la vie éternelle signifient qu’elle concerne tous les êtres.  

Sur ce, je conclus notre cours d’aujourd’hui. Merci beaucoup de votre attention.